mardi 27 octobre 2009
vendredi 23 octobre 2009
Le Premier ministre Vladimir Poutine discute à St Petersburg avec ses homologues d’Italie et de Turquie Silvio Berlusconi et Tayyip Redjep Erdogan de la nouvelle structure de la sécurité énergétique européenne, notamment des gazoducs « North Stream » et le « South Stream ».
La Turquie a autorisé, il y a quelques jours, la prospection géologique dans sa zone économique exclusive. « South Stream » passera au fond de la mer Noire de Novorossisk vers le port bulgare de Varna. Ensuite ses deux embranchements achemineront le gaz via les Balkans en Italie et en Autriche. La capacité de débit du « Souh Stream » est de 63 milliards de m3 par an, ce qui permettrait aux consommateurs de dépendre moins des transiteurs comme l’Ukraine, souligne Elena Ponomareva, experte de la chaire de politologie comparative de l’Institut des Relations Internationales.
Les conflits réguliers avec l’Ukraine ont rendu indispensables de nouveaux projets alternatifs. Le projet s’est amplifié grâce aux efforts de la diplomatie russe. Nous retournons dans la grande Europe grâce aux projets économiques et pragmatiques et non aux standards idéologiques.
25 milliards d’euros seraient investis dans « South Stream ». « Gazprom » de Russie et ENI d’Italie mettent en ouvre les projets énergétiques ambitieux. D’après Paolo Scaroni, patron d’ENI, la construction du « South Stream » pourrait commencer à la fin de l’année prochaine et en 2013 le gazoduc serait mis en route.
L’Europe du Nord recevrait le combustible bleu plus tôt. Les autorités danoises ont récemment autorisé la construction du gazoduc « North Stream ». Vers la fin 2011, ce pays compte recevoir 2 milliards de m3 de gaz par an.
La société « Nord Stream », opérateur du gazoduc, doit obtenir l’autorisation du Danemark pour gérer et exploiter le gazoduc. Les représentants de l’opérateur sont convaincus que cela ne nécessiterait pas de forces supplémentaires et ne prendrait pas beaucoup de temps. On sait déjà que le Danemark encaisserait d’emblé 175 millions de dollars pour l’utilisation de ses eaux territoriales et les taxes de transit. Les experts danois notent qu’en soutenant Nord Stream le Danemark souhaite approvisionner l’Europe en gaz à partir des sources fiables et diversifiées.
La Turquie a autorisé, il y a quelques jours, la prospection géologique dans sa zone économique exclusive. « South Stream » passera au fond de la mer Noire de Novorossisk vers le port bulgare de Varna. Ensuite ses deux embranchements achemineront le gaz via les Balkans en Italie et en Autriche. La capacité de débit du « Souh Stream » est de 63 milliards de m3 par an, ce qui permettrait aux consommateurs de dépendre moins des transiteurs comme l’Ukraine, souligne Elena Ponomareva, experte de la chaire de politologie comparative de l’Institut des Relations Internationales.
Les conflits réguliers avec l’Ukraine ont rendu indispensables de nouveaux projets alternatifs. Le projet s’est amplifié grâce aux efforts de la diplomatie russe. Nous retournons dans la grande Europe grâce aux projets économiques et pragmatiques et non aux standards idéologiques.
25 milliards d’euros seraient investis dans « South Stream ». « Gazprom » de Russie et ENI d’Italie mettent en ouvre les projets énergétiques ambitieux. D’après Paolo Scaroni, patron d’ENI, la construction du « South Stream » pourrait commencer à la fin de l’année prochaine et en 2013 le gazoduc serait mis en route.
L’Europe du Nord recevrait le combustible bleu plus tôt. Les autorités danoises ont récemment autorisé la construction du gazoduc « North Stream ». Vers la fin 2011, ce pays compte recevoir 2 milliards de m3 de gaz par an.
La société « Nord Stream », opérateur du gazoduc, doit obtenir l’autorisation du Danemark pour gérer et exploiter le gazoduc. Les représentants de l’opérateur sont convaincus que cela ne nécessiterait pas de forces supplémentaires et ne prendrait pas beaucoup de temps. On sait déjà que le Danemark encaisserait d’emblé 175 millions de dollars pour l’utilisation de ses eaux territoriales et les taxes de transit. Les experts danois notent qu’en soutenant Nord Stream le Danemark souhaite approvisionner l’Europe en gaz à partir des sources fiables et diversifiées.
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