mercredi 8 décembre 2010

Le mot « patronyme », d’origine grecque, signifie « nom du père ». Il peut désigner deux sortes de nom différents :

* le nom de famille Page d'aide sur l'homonymie est un nom héréditaire qui se transmet de parent à enfant, en principe inchangé sur plusieurs générations ;
* le nom patronymique est, dans certaines cultures, le prénom du père d’une personne rappelé avec le prénom propre de cette personne (typiquement Xxx, fils de Yyy ou ben Yyy) ; il change donc à chaque génération.
C'est ce que je pense en lisant ce post. Curieusement.
Le poids de ce qu'on a à faire dans la vie, de tout ce qui nous pèse, et qu'on n'a pas forcément envie de faire.

Et la conséquence, enfin l'effet secondaire actuel, c'est le concept de lâcher-prise. Comment fait-on ?

Comment décide-t-on de lâcher prise, on décide juste, comme cela, et ça se met en place ?

Comment échapper aux influences parfois lourdes de son passé, de son entourage ?

mardi 22 juin 2010

Philippe II de Bourgogne dit Philippe le Hardi (1342 - 1404), est le fils du roi Jean II de France, dit Jean le Bon, et de Bonne de Luxembourg. Né à Pontoise le 17 janvier 1342, il fut duc de Bourgogne, comte de Flandre et d'Artois, comte palatin de Bourgogne, comte de Nevers, de Rethel, d'Étampes, de Gien, de Charolais, seigneur de Salins et de Malines. Longtemps appelé Philippe sans terre[2] parce qu'il était le dernier des quatre fils du roi Jean, il est fait duc de Touraine en 1360[3]. Il est nommé Philippe le Hardi par la bouche du roi d'Angleterre pour trois actes qu'il fait[4], le plus célèbre étant son valeureux comportement au côté de son père à la bataille de Poitiers en 1356. Son père lui donne le duché de Bourgogne en apanage en 1363. Il épouse à Gand en juin 1369[5] Marguerite III de Flandre, riche héritière présomptive des comtés de Flandre, d'Artois, de Rethel, de Nevers et du comté de Bourgogne et veuve[6] du précédent duc de Bourgogne Philippe Ier de Bourgogne décédé sans descendance à l'âge de 15 ans. La mort de son beau-père, Louis de Male, le rend maître des territoires apportés en dot par sa femme et fait de lui le plus puissant des « sires de fleurs de lys ». Tenant sous son autorité la Flandre, l'Artois et leurs appartenances, il rassemble sous son contrôle le duché de Bourgogne et le comté de Bourgogne lesquels vont, pendant une période d'un siècle, suivre à nouveau une destinée commune.

samedi 14 novembre 2009

Hier, la lecture d'un post critique m'a fait réfléchir.

Il s'agissait d'un post au sujet de l'affaire Ndiaye. L'auteur renvoyait dos à dos les trois protagonistes :l'auteur, et les deux hommes politiques, arguant du faible dbat . C'est la france, disait-il en substance, c'est typiquement français, ce débat stérile et vain.

Une première lecture de ce post ne m'a pas sembler mériter la critique. L'auteur y exprimait son avis.

Mais la virulence d'un autre internaute m'a amené à m'interroger : là où je lis "un avsi", l'autre internaute, non sans raison, voyait un avis stupide. Tous les avis ne sont donc pas également intéressants.

Naturellement je n'en ignore rien. Un professeur de faculté peut avoir une vision plus alrge des choss.

Mais disons que tout d'un coup l'idée s'est imposée à moi de posts de plus ou moins grandes qualités : non pas seulemnt s'exprimer, mais s'exprimer avec la qualité. Voilà qui n'est guère facile.